Quand ça va mal!

Samedi dernier, je vais souper chez ma mère. Comme d'habitude, je suis reçue comme une reine et ma mère et moi on est ultra-contente de se voir. En sortant de chez elle pour retourner chez moi, je déboule l'escalier! Mon pied a glissé sur la première marche et j'ai fini sur le pallier. Impossible de m'arrêter plus tôt, une vraie patinoire. Par chance, ma mère n'avait pas encore fermer la porte alors elle a pu venir m'aider. J'étais sonné mais par chance je ne m'étais pas cogné la tête. Le lendemain à mon réveil j'avais un énorme bleu sur une fesse et j'avais mal au dos. Lundi j'ai vu ma physio et elle m'a soigné pour une blessure au coccyx (quel drôle de mot!). Là je met de la glace et j'attends sagement mon prochain rdv.

J'ai été obligé de payé 10$ pour envoyer ma candidature pour une offre d'emploi....j'étais un peu serré dans les délais et j'avais un dvd dans mon paquet...c'est certain que si j'ai l'emploi ça aura valu la peine mais bon...

J'ai besoin de nouvelles lunettes et j'ai seulement droit à 75$ de remboursement d'assurance. Avec de nouvelles montures et ma forte myopie, je ne pense pas m'en sortir beaucoup en bas de 500$!

Je dois écrire le chapitre 2 de mon roman jeunesse pour mon cours à l'UQAM et je suis bloquée.

Je m'ennuie à mourir de mon père.

Mon chum a travaillé tous les soirs cette semaine en plus de partir plus tôt chaque matin.

Il mouille.

C'est le bordel sur mon bureau et je déteste faire le ménage.

Faire l'épicerie, ça vide un compte en banque.

Je dois aller renouveller mon permis de conduire et ma carte d'assurance-maladie.

Je veux voir mes amies de filles immédiatement. La téléportation devrait exister.

J'ai pas de job et je me trouve poche.

J'ai toujours pas lu le roman écrit par le chum de ma mère.

Je me trouve grosse.

Je suis incapable de trouver des nouveaux souliers à mon goût.


Ça suffit. J'ai fini.